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Toro Y Moi, le maître incontesté de la Chillwave est de retour avec un nouvel album. Depuis plusieurs années, Chaz Bundick (aussi connu sous l'alias Les Sins) a prouvé qu'il était non seulement un musicien prolifique, mais aussi versatile, laissant chaque nouvelle sortie élargir la portée de l'oeuvre "Toro Y Moi". En 2011, le son funky psych-pop de "Underneath the Pine" dévoile un artiste qui est capable de créer des ambiances singulières, sans l'aide d'artifices. Puis, son EP "Freaking out", et l'album "Anything in return" dévoilé en 2012, prouvent une nouvelle fois les talents de producteur-songwriter de Chaz. L'artiste signe cette fois "For what ?", un album qui annonce une nouvelle fois quelques changements de cap, et démontrant à nouveau que Chaz n'est pas encore prêt à s'installer dans un seul genre...

Pensez Oingo Boingo repris par Fat White Family sur le matos de Beat Happening, pensez One foot in the grave de Beck remixé par Daniel Johnston et Brian Wilson, pensez Os Mutantes, les Spits, The Feeling Of Love ou A Frames quand ils touchaient tous ce truc magique du bout des doigts, mais en vérité, vous feriez mieux de ne pas penser à tout ça, parce que de toute façon, vous n'y serez pas. Loin de là. D'autant plus que le cas s'aggrave dangereusement avec ce deuxième album. Onze titres balancés en moins de 40 minutes. Onze déclarations d'amour claudiquantes aux sacs à dos trop lourds, aux châteaux hantés, aux quartiers tranquilles du 14ème arrondissement et aux tournées en Chine - organisées sur un malentendu là encore, grâce à une fille retrouvée endormie dans un canapé un lendemain de nouvel an. Onze sérieuses démonstrations de style.

Pour sauver la petite Wika lors de l'attaque de leur château par le prince Obéron, ses parents Claymore Grimm et Titania lui ont coupé les ailes et l'ont confiée à des fermiers. Treize ans plus tard Wika rejoint la cité du prince Obéron où elle rencontre le voleur Bran. Un univers fantasy et steampunk.

Le sanctuaire brûle, le satyre n'est plus, Wika, morte, repose sur le nombril de Pan : par la ruse, l'audace et la folie, Obéron est presque venu à bout des fées noires. Mais tandis que l'Yggdrasil se consume, le grand dieu cornu attend. Il a un message à transmettre au roi dément et il ne lui manque plus qu'une messagère. Fin de cette épopée de fantasy baroque. ­Electre 2019

Wika a perdu Bran et s'est débarrassée des loups d'Obéron. Ness, Mata et Gwynette, les fées noires, la sauvent de l'appétit des créatures des marais et lui promettent de parfaire son apprentissage afin de la rendre assez puissante pour défaire le tyran, si elle accepte de faire renaître de ses cendres leur royaume, Balor. Electre 2016

Les aventures du groupe des Winx formé par Bloom et ses quatre meilleures amies de l'université des fées d'Alféa. Dans cet épisode, le rallye de motos volantes organisé lors de la fête de la rose est la cible des Trix.

Lufy, garçon espiègle, rêve de devenir le roi des pirates en trouvant le One Piece, un fabuleux trésor. Il a avalé par mégarde un fruit démoniaque qui l'a transformé en homme-caoutchouc. Depuis, il est capable de se contorsionner mais ne peut plus nager. Avec l'aide de ses amis, il va devoir affronter de redoutables pirates dans de nombreuses aventures.

« Je m’appelle August. Je ne me décrirai pas. Quoi que vous imaginiez, c'est sans doute pire. » August Pullman voudrait être un garçon de dix ans ordinaire. Il fait des trucs ordinaires. Il mange des glaces. Il joue sur sa DS. Il fait du vélo. Mais Auggie est loin d’être ordinaire. Lorsqu'un enfant ordinaire entre dans un square, les autres enfants ordinaires ne s'enfuient pas en hurlant. Quand un enfant est normal, les gens ne le fixent pas partout où il va. Né avec une malformation faciale, Auggie n’est jamais allé à l’école. à présent, pour la première fois, il va être envoyé dans un vrai collègeà Pourra-t-il convaincre les élèves qu’il est comme eux, malgré tout ?

Influence reconnue sur toute une scène néo-folk, synchronisé sur un nombre impressionnant de BO de films ou de publicités, certifié platine par deux fois, le groupe fondé à Clermont-Ferrand par Mark Daumail sort son quatrième album. D'un ton pop affirmé et assumé, Wood fire fait ainsi suite à My friends all died in a plane crash (2007), Where the oceans end (2010) et Welcome home (2016). Depuis ce dernier opus, Mark Daumail a bouleversé les habitudes de son écriture. Et quelque chose a changé chez Cocoon : une sérénité, une décontraction ont gagné ces hymnes à l'amour. Une mutation sans doute née d'un changement profond des méthodes de travail.

Le dernier opus de P.TM est sorti en 2013, longue pause pour un groupe qui sortait un album par an depuis 2006. Et dans un véritable style prolifique, ils ont passé presque chaque minute depuis 2013 à travailler sur un album appelé Gloomin + doomin. Ils ont créé de nombreuses chansons à part mais, dans l'ensemble, il n'y avait aucune cohérence entre elles de manière à ce que le tout soit correct. Puis John Gourley, le chanteur, est retourné chez lui à Wasilla en Alaska. C'est en trouvant le billet de son père pour le fameux festival Woodstock (1969) que John a réalisé que, dans la même tradition que les groupes de cette époque, P.TM avait besoin de s'exprimer sur la chute du monde qui les entoure. Le groupe est alors reparti de zéro et est retourné en studio. Il s'est entouré de John Hill (In the mountain in the cloud), Danger Mouse (Evil friends), Mike D (Everything cool) et un collaborateur de longue date, Casey Bates, producteur depuis le premier album.

Un éclairage sur Internet et ses évolutions qui ont révolutionné la vie quotidienne, le cinéma, la mode et la musique depuis la fin des années 2000. ­Electre 2023